Choisir mon avocat par internet, est-ce possible ?

Internet, c’est bien.

Surfer pour trouver des recettes de cuisine ou le dernier clip de votre star préférée, acheter ses meubles, trouver une adresse, consulter des avis sur des professionnels,  etc.

On y trouve tout et rien et c’est ça qui est bien.

Mais peut-on y trouver l’avocat que l’on cherche ?

La tâche est difficile et je vous propose quelques explications et conseils pour mieux vous y retrouver.


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Le référé et l’urgence : savoir conseiller son client en procédure civile

jurisprudanceDans un arrêt exemplaire rendu le 4 février 2018, la chambre de la famille de la Cour d’appel de POITIERS a rappelé avec force que la saisine du juge en référé exigeait la démonstration d’une urgence, laquelle s’appréciait au jour où le juge statuait.

Les faits sont singuliers et la solution est juridiquement classique.

Mais manifestement, rappeler quelques principes classiques en procédure civile n’est pas une mauvaise chose.

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Réforme des tribunaux d’instance de Paris

Le décret n° 2017-1643 du 30 novembre 2017 publié au journal officiel du 2 décembre 2017 a crée le Tribunal d’instance de Paris. Il supprime les vingt tribunaux d’instance présents dans chaque arrondissement de Paris.

Il s’agit de procéder au regroupement des affaires au sein du nouveau palais de justice de Paris.

Le décret précise que le texte entre en vigueur le 14 mai 2018 et que conformément à l’article R. 221-2 du code de l’organisation judiciaire, les tribunaux d’instance primitivement saisis demeureront compétents, jusqu’aux dates déterminées par le décret, pour statuer sur les procédures introduites antérieurement à la date de création du tribunal d’instance de Paris.

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Offre d’emploi : avocat collaborateur

Dans le cadre de son développement, la SARL DESCARTES AVOCATS recherche un  collaborateur avocat. Les qualités essentielles recherchées sont : la rigueur, la motivation et l’envie d’apprendre. Le cabinet étant pratiquement intégralement dématérialisé, le candidat doit disposer d’une bonne aisance en informatique. Les matières pratiquées sont essentiellement : le  droit des affaires (conseil et contentieux), les contrats civils et  commerciaux, la construction, les régimes matrimoniaux et les  successions, la procédure civile.

L’atout du cabinet : les dossiers traités sont souvent techniques et donc passionnants.

Débutants ou confirmés acceptés.

Le petit plus : télétravail  possible.

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Le nouveau divorce par consentement mutuel

Depuis le 1er janvier 2017, est entrée en vigueur la nouvelle procédure de divorce par consentement mutuel en application des dispositions de la loi de modernisation de la justice du XXIe siècle, publiée au Journal officiel le 19 novembre 2016.

Deux avocats, plus de juge.

Le nouveau divorce par consentement mutuel devient un contrat signé par les parties. Il n’y a plus de contrôle du juge, de sorte qu’il devient une procédure dite « non juridictionnelle » conformément à l’article 229 du Code civil.

Elle prévoit notamment que chaque partie est obligatoirement assistée d’un avocat et que le recours au juge n’existe plus.

Par conséquent, fini les divorces par consentement mutuel avec un avocat pour les deux parties et un juge qui vérifie le consentement des deux époux.

En théorie, la représentation par avocat garantit que les parties peuvent divorcer sans pression. Mais en pratique, nous avocats, savons bien que c’est faux. Il convient donc d’être vigilant et de bien s’entendre avec son avocat pour qu’il vous conseille au mieux.

Le conseil de votre avocat vous permet de trouver des points d’entente sur les éléments incontournables d’un divorce : autorité parentale sur les enfants, pension alimentaire, prestation compensatoire, partage des biens des époux.

Lorsque les points d’entente sont trouvés, l’un des deux avocats rédige la convention de divorce et la transmet à l’autre avocat. Elle sera signée et envoyée par lettre recommandé avec accusé de réception aux époux. Les conjoints disposent alors obligatoirement d’un délai de réflexion qui est aussi un délai de rétractation, d’une durée de quinze jours (article 229-4 du Code Civil). La signature ne sera apposée par les époux qu’à l’issue du délai de rétractation, à peine de nullité de la convention.

Un notaire.

À l’issue de ces quinze jours, il revient au notaire de contrôler la conformité de la convention, le respect des mentions obligatoires et le respect du délai de réflexion donné aux époux. Il se contente d’enregistrer la convention de divorce dans ses livres (on dit « au rang des minutes ») pour un coût forfaitaire de 50 €. Le notaire se limite donc à un contrôle formel et un rôle d’enregistrement.

Dès l’enregistrement, l’acte sous signature privée (dit « acte sous seings privés ») devient alors un acte authentique, avec date certaine et une force exécutoire équivalente à celle d’un jugement. Il ne reste plus qu’à transcrire le divorce des époux en marge de leurs actes d’état civil.

Date des effets du divorce.

  • Pour les époux, la dissolution du mariage prend effet à la date à laquelle la convention acquiert « force exécutoire », c’est-à-dire à la date à laquelle elle a été déposée au rang des minutes du notaire.
  • Pour les biens, la date des effets du divorce est également celle à laquelle la convention acquiert force exécutoire, c’est-à-dire la date du dépôt au rang des minutes du notaire, sauf si la convention a prévu une autre date, conformément à l’article 262-1 du Code civil.
  • Pour les tiers, le divorce ne leur sera opposable qu’à compter de la date de transcription du divorce sur les registres de l’état civil (article 262 du Code civil).

Cas particuliers.

Le recours à ce type de divorce est exclu dans deux cas prévus par l’article 229-2 du Code civil :

  • lorsqu’un enfant mineur du couple demande à être entendu par le juge : le divorce par consentement reste alors possible, mais selon la procédure judiciaire actuellement en vigueur, c’est-à-dire sous le contrôle du juge ;
  • lorsque l’un des époux fait l’objet d’une mesure de protection civile (tutelle, curatelle, sauvegarde de justice), le recours au divorce par consentement mutuel, même par voie judiciaire, est exclu. En cela, le régime de l’ancienne procédure de divorce par consentement mutuel est maintenu (article 249-4 du Code civil).

Un divorce au rabais ?

L’état s’est seulement désengagé de ces procédures de divorce en soustrayant l’intervention du juge. Il s’agissait pour l’état, incapable de financer de nouveaux magistrats, de lui permettre de s’occuper d’autres affaires.

Mais en l’absence de juge, le rôle de l’avocat est encore plus important et c’est sur lui que repose toute la responsabilité du contrôle des consentement des époux. D’où l’absence de diminution du montant des honoraires des avocats pour ce type de procédure.

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Deroo vs Sony Europe : un arrêt sans surprise de la Cour de cassation

J’ai tardé à commenter ce nouvel arrêt du 14 décembre 2016. Sans doute écœuré par l’issue de cette affaire que je pressentais.

Dans mon précédent article sur l’arrêt rendu par la la CJUE le 7 septembre 2016, je m’étais étonné des questions préjudicielles posées par la Cour de cassation et avais déploré le manque de réalisme de la Cour de justice de l’Union qui a, ni plus ni moins, esquivé le fond du problème. J’estimais alors qu’il ne fallait rien attendre de la « solution » qui serait donnée par la Cour de cassation et j’avais raison, malheureusement.

Voici mon analyse.


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Rappels sur les effets d’une transaction

jurisprudanceLa chambre sociale de la Cour de cassation vient, dans un arrêt du 11 janvier 2017 [1], de confirmer l’abandon d’une conception restrictive de l’objet d’une transaction.

Si le salarié a déclaré, dans une transaction régularisée entre les parties en des termes généraux, « être rempli de tous ses droits et ne plus avoir aucun chef de grief quelconque à l’encontre de la société du fait de l’exécution ou de la rupture de son contrat de travail », il renonce à toute demande indemnitaire ultérieure, quelle que soit l’évolution de ses droits et des obligations de l’employeur.

Pour l’employeur, les termes généraux deviennent très protecteurs : plus le champ du protocole est large, moins il s’expose à des réclamations par la suite.

Le salarié aura quant à lui intérêt à tenter de restreindre – autant que faire ce peut – l’objet du protocole d’accord afin, en cas de naissance d’un droit ultérieur, ou d’une nouvelle obligation de son employeur, de conserver la possibilité de s’en prévaloir pour formuler une réclamation.

Conclusion : Restez vigilants dans la rédaction des protocoles ! Et en cas d’hésitation, n’hésitez pas à vous faire conseiller par le cabinet.


 

[1] Cass. Soc. 11 janvier 2017 ; n° 15-20.040

 

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DESCARTES AVOCATS : Pour bien conduire sa raison.

Depuis le 1er janvier 2017, le cabinet CUIF AVOCATS que j’ai fondé en 2009 s’est transformé…

Un peu de passé pour comprendre l’avenir.

avoueJ’ai commencé ma vie professionnelle en 1997-1998 lorsque j’étais encore étudiant en droit. J’alternais les cours avec un stage de « collaborateur » chez un Avoué dans cette belle ville de ROUEN, en passant mon temps à rédiger des conclusions et à les recommencer inlassablement après des dizaines de corrections successives, jusqu’à obtenir un travail satisfaisant. Et cette méthode a forgé mon caractère.

Peu attiré à l’époque par la théorie, j’étais convaincu que je pourrais m’épanouir avec la pratique. Cela a été le cas, mais j’ai dû intégralement réapprendre tout ce que j’avais appris à la faculté avec une seule obsession : devenir un bon professionnel. J’ai rapidement appris le goût de trouver des solutions à mes clients dans des dossiers qui étaient en apparence perdus. Cette obstination ne m’a jamais quitté.

Après mon « stage », je suis parti travailler dans une étude d’Avoué à la Cour d’appel d’AMIENS, une maîtrise de droit des affaires en poche. J’y ai appris l’autonomie car la structure était plus familiale ; j’avais plus de responsabilités.  J’ai essayé de moderniser la structure en y apportant de l’informatique, à l’heure où nous rédigions encore des déclarations d’appel sur papier carbone. Mais travaillant à plus de 100 km de mon domicile, je suis revenu « au bercail » un an et demi après.

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Le cabinet, les valeurs, les missions

Le droit des affaires

Le droit des affaires regroupe un certain nombre de disciplines du droit, dédiées aux entreprises et aux particuliers.

Le cabinet traite donc essentiellement de contrats civils et commerciaux, de droit fiscal, de droit immobilier, de droit économique des entreprises et quelques autres matières qui leur sont associées.

Pour les particuliers et les entreprises

Les entreprises occupent une place prépondérante dans l’activité du cabinet, car elles sot toujours en mouvement et ont besoin d’être accompagnées au quotidien dans leurs activités. Nous concevons les contrats, veuillons à leur bonne exécution et travaillons sur la veille pour qu’ils soient toujours à jour. Nous accompagnons les sociétés dans toutes les étapes de leur vie, depuis la création jusqu’au traitement de leurs difficultés, en passant par le conseil économique et le contentieux fiscal.

Mais l’activité est aussi tournée vers les particulier, car ils signent des contrats tous les jours, et tout ne se passe pas forcément comme ils le souhaiteraient. Vous avez acheté une maison dont vous découvrez des vices ? Vous rencontrez un problème avec votre assureur ou vous faites l’objet d’un contrôle fiscal ? Maître CUIF est votre partenaire !

En conseil comme en contentieux

Un avocat n’est pas seulement un auxiliaire de justice de salles d’audience.

Nous préférons conseiller les particuliers et les entreprises avant les étapes importantes de leur vie : acheter une maison ou en faire construire une ? Les conseils d’un avocat seront nécessaires à bien des égards. Les relations avec un partenaire de votre entreprise se dégradent ? Optez pour une médiation et une négociation par avocat, elle permettra d’éviter les difficultés.

Nous pratiquons aussi le contentieux, mais uniquement lorsqu’il est nécessaire et cherchons toujours à mener une négociation au préalable. Nous sommes rompus aux « MARDS » ou modes alternatifs de règlement des différends.

Dans un cabinet moderne rayonnant sur tout le territoire.

L’expérience en droit n’est pas tout. Le cabinet est aussi à la pointe de la technologie : les dossiers sont intégralement dématérialisés et le cabinet a conçu son propre logiciel de suivi de ses clients. Rien n’est oublié et tout est numérisé.

Nous assurons la défense de vos intérêts sur toute le territoire français, tant en première instance que devant les Cours d’appel, en matière civile, commerciale et administrative.

Nos valeurs et nos engagements.

  • Nous défendons vos dossiers avec ténacité : que votre affaire dure quelques mois ou quelques années, nous avons à cœur de vous accompagner avec la plus grande ténacité, jusqu’à ce votre dossier soit définitivement jugé. Et même lorsque les exigences procédurales impliquent de confier votre dossier à un autre professionnel, comme par exemple devant la Cour de cassation ou la Cour de Justice de l’Union Européenne, nous continuons de travailler et de soumettre des argumentations pertinentes pour vous assurer la meilleure solution possible.
  • Nous vous accompagnons dans les matières que nous connaissons et que nous pratiquons : nous pensons qu’il est impossible de connaître et de pratiquer toutes les branches du droit. Par conséquent, si vous nous saisissez dans une matière que nous ne pratiquons pas habituellement, nous n’hésitons pas à vous le préciser et à vous recommander le concours d’un autre professionnel pour traiter une question de droit ou un contentieux spécifique. C’est la raison pour laquelle nous travaillons en partenariat avec d’autres avocats.
  • Nous défendons vos intérêts en toute indépendance : nous vous garantissons un examen et un traitement  impartial de vos affaires, en dehors de toute pression. Cette exigence est l’un des pivots de notre cabinet et nous n’acceptons pas les compromissions sur nos fondamentaux car c’est ce qui fonde la réputation constante du cabinet. La valeur consubstantielle de cette indépendance est la discrétion, que nous pratiquons assidûment depuis toujours et que notre personnel applique également.

Les domaines d’intervention.

Le droit des affaires

  • droit des sociétés : contentieux du droit des sociétés (pactes d’actionnaires, litiges commerciaux, etc.)
  • Droit des contrats civils et des contrats commerciaux : ventes, vices cachés, rupture abusive des relations contractuelles, etc.
  • baux commerciaux : rédaction, renouvellement, indexations, etc.
  • rédaction de vos conditions générales de vente et d’achat, contrats commerciaux, audit juridique de votre société ;
  • conseil dans la résolution des conflits avec les fournisseurs ou les clients, contrats informatiques.

Le droit fiscal

  • accompagnement à l’occasion des contrôles fiscaux : réclamations contentieuses, propositions de rectifications, mises en demeure, avis à tiers détenteurs, avis de vérification de comptabilité, examen de la situation fiscale personnelle, demande d’informations ou communication de pièces par la DGFIP, avis de recouvrement…
  • particuliers, entreprises et régimes spéciaux (buralistes, etc.)

Le droit des entreprises en difficultés et des procédures collectives

  • intervention dès le stade de l’enquête juridique et financière ;
  • gestion des procédures collectives devant le tribunal de commerce depuis le stade amiable jusqu’au contentieux ;
  • plans de redressements et de cession des entreprises
  • négociations avec les créanciers et les mandataires judiciaires, etc.

 Le droit de la concurrence et de la consommation

  • Protection des consommateurs : droit français et européen de la consommation
  • Concurrence déloyale et parasitaire
  • Rupture abusive des relations commerciales ou contractuelles
  • Pratiques commerciales déloyales des entreprises à l’égard les consommateurs (droit de la consommation informatique)
  • Droit de l’internet (noms de domaine, contrefaçon, concurrence parasitaire, etc.)

Le droit immobilier : construction, urbanisme et baux

  • Conseils avant la signature de vos contrats de construction (CMI, VEFA, VAT) et nous vous accompagnons avec une équipe complète composée d’un architecte et d’un maître d’œuvre.
  • Conseil aux architectes, entrepreneurs et entreprises intervenant sur les chantiers de construction : gestion des contrats de construction, responsabilité, assistance aux réunions de chantier, etc.
  • Litiges de construction devant le tribunal (litiges de malfaçons, responsabilité décennale des constructeurs, garantie de parfait achèvement, etc.)
  • Baux commerciaux : expulsions, renouvellement de bail commercial, rédaction des baux commerciaux, résiliation de bail commercial…
  • Baux d’habitation : expulsions, logements indécents, résiliation de bail, etc.
  • Gestion des contrats de l’avant vente immobilière : nous vous conseillons et relisons les actes préparatifs aux ventes afin de vous éviter des difficultés lors de la vente (promesses de vente, compromis de vente, etc.)…

 La procédure civile

  • Procédure de première instance et procédure d’appel : il s’agit d’une matière pilier du cabinet, Maître CUIF ayant évolué pendant 11 ans auprès des Avoués de Cours d’appel spécialisés en procédure civile.
  • Le cabinet vous accompagne en procédure civile et vous conseille sur les chois stratégiques de votre dossier, ce qui constitue une véritable plus-value permettant d’augmenter substantiellement vos chances de succès.
  • Le ressort de la Cour d’appel de Bordeaux s’étend sur trois départements de la région Nouvelle-Aquitaine :

    La cour d’appel de Bordeaux regroupe dans son ressort, outre la cour d’appel elle-même :

  • le cabinet assure la formation de ses confères au travers d’articles et de conférences.

 Le droit de la propriété et des biens

  • Litiges de propriété : servitudes, empiétement, actions en bornage, contrats de ventes immobilières
  • Troubles de voisinage, etc.
  • Cliquez sur le menu « Presse et médias » pour voir les vidéos de l’émission « Prise de tête  » sur France 3 Poitou-Charentes

 Le droit bancaire et des assurances

  • Litiges d’assurances, gestion des sinistres avec les assureurs, etc.
  • Responsabilité des banques sur les placements litigieux, prêts abusifs, produits financiers toxiques

L’histoire du cabinet

Après avoir exercé pendant plus de 11 ans auprès des Avoués de Cours (professionnels du droit spécialisés dans les litiges portés devant les Cours d’appel), Maître Frédéric CUIF a rejoint la profession d’avocat en 2008 lorsque sa profession a été supprimée.

Il a fondé son cabinet d’affaires en 2009 à Poitiers. C’est donc fort d’une expérience juridique et technique de près de 22 ans que Maître Frédéric CUIF vous conseille pour trouver une solution à vos difficultés. Suivez-le sur Linkedin, Twitter : fredcuif et Facebook

En 2017, le cabinet est devenu la SARL DESCARTES AVOCATS.

Le 24 janvier 2024, Maître CUIF est promu associé de la société LX AVOCATS et prend la tête du cabinet de Bordeaux.

Tous les deux ans, le cabinet réalise un audit de ses clients pour une meilleure information.

  • Un premier audit a eu lieu en 2018
  • Un deuxième audit a eu lieu en 2020.

La solide expérience en informatique du cabinet et son équipement de pointe nous permettent de vous conseiller sur vos choix stratégiques en informatique.

Maître CUIF a développé la suite « LiSiLex », une solution de gestion de cabinets d’avocats basée sur Linux, ce qui en fait un outil particulièrement fiable et sécurisé, flexible et confortable, bien adapté aux micro, petites et moyennes structures (en partenariat avec la société hupstream, puis Aukfood). Déjà installé avec succès auprès dans plusieurs cabinets à Rouen ou à Poitiers, nous continuons notre expansion. N’hésitez pas à solliciter le cabinet pour des renseignements.

Maître Frédéric CUIF est par ailleurs :

  • Membre de l’AAPPE : Association des Praticiens de la Procédure et de l’Exécution
  • Membre de Droit & Procédures, association de praticiens de la procédure civile et des procédures d’exécution.
  • Membre de l’ACE
  • Membre de l’association Cybertron, composée d’avocats geeks férus de logiciels libres.
  • fondateur et modérateur du groupe « Avocats sous Linux »
  • ancien membre du Conseil de l’ordre des avocats de Poitiers ;
  • ancien cofondateur et membre du BNI FORCE SUD VIENNE, réseau d’entrepreneurs locaux ;
  • ancien Vice-Président de l’association du Jeune Barreau Poitevin.

 

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