L’application n’étant pas franchement une réussite informatique (protocole https encapsulé dans un boiter FW/VPN avec une clé de 128 bits fabriqué par la société Navista, le tout associé à une clé USB chiffrée, ou comment tuer une mouche avec une ogive nucléaire), une fin de non recevoir m’avait été adressée en 2010 par l’association CNB.COM s’agissant du support sous Linux.
En saisissant mon Bâtonnier, le discours n’est curieusement plus le même ! J’ai enfin pu avoir la confirmation qu’en réalité, aucun portage n’était nécessaire (ce n’est bien qu’un protocole https utilisé par une appli Web classique) et que le fonctionnement du RPVA ne dépendait que de la clé de cryptographie délivrée par Certeurope. Encourageante nouvelle, même si tout n’est pas réglé.
Sans entrer encore dans les détails qui feront certainement l’objet d’un billet à part, j’ai par contre un besoin urgent de savoir qui, parmi mes confrères, travaille sous Linux, et avec quelle distribution.
Je remercie mes lecteurs de faire passer le mot pour que mes confrères puissent me contacter à l’adresse du cabinet.
À lire :
- le rapport Hattab sur le déploiement du RPVA
- le Blogue de Zythom
- Le RPVA et Linux, la suite